Mai 1774
Conseil Général d'Odin
-Il nous faut un gouvernement ! Le Conseil ne suffit plus pour gérer ces villageois ! Sa faisait une heure que cela durait, une heure à débattre si oui ou non il y aurait un nouveaux gouvernement, un bien puissant que celui-ci.
-Moi je vote pour qu’il est un nouveau gouvernement, mais faudrait-il pas demander l’avis des villageois ? L’homme sage de la ville venait de prendre la parole, personne ne constatait ces avis, personne, sauf une.
-Et pour quoi faire ? Ils diront non de toute façon ! Je me propose pour diriger le nouveau gouvernement ! Je serais le chef de l’État !_____
Avril 1865
Le massacre d'OdinCela faisait 91 ans que l'État était créer, les villageois était traité comme des esclaves. Des gens disparaissaient subitement mais les villageois ne voyaient rien, aveuglé par la couverture de l'État qui leur montrait de la sympathie alors qu'il les détruisait jour après jour. Heureusement des personnes avaient remarqué le petit manège de l'État et bientôt il ne sera plus qu'un vieux souvenir. Les rebelles extermineront l'État.
En Avril 1865, une guerre se déclara entre les rebelles et l'État. Le sol fut recouvert de sang, pendant des jours des cris retentir, les villageois s'était barricader dans leurs maisons, les gitans étaient partit en mer pour échapper au massacre, les sorcières étaient rester dans leurs coin impuissante même les ours blanc étaient rester chez eux. Après des jours de tueries, l'État proposa de faire la paix mais les rebelles ne voulaient pas s'arrêter tant que l'État serait toujours là.
Le gouvernement pris alors les choses en mains. Il réussir à bloquer tout les rebelles sans leurs armes et il engagea une fusillade. Tout les rebelles bloqué trouvèrent la mort, leurs dépouilles furent jeter dans des fosses et plus personne n'osèrent parler de cet époque.
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Août 1998
Le retourLe silence, un calme rare dans la ville d'Odin. Dehors, si on prêtait l'oreille on pouvait entendre des bruit de pas. Sans doute des jeune délinquants. Les bruit de pas se transformèrent rapidement par des bruit de feuilles qui s'écartent et des brindilles qui se casse.
Gloup...gloup...gloup... Quelqu'un était entrain de vider une bouteille: eau, alcool, essence ? Peut être les trois. Puis plus rien. Le silence reprit sa place jusqu'à ce qu'une allumette se casse et que l'alarme incendie retentit. Des gens accoururent pour tomber sur le spectacle. Un champ en feu, plutôt habituelle dans cet saison chaude. Le feu menaçait de brûler les maisons aux alentours mais personnes ne s'en occupait, trop occuper à lire ce qui était marqué en lettre de feu. "Nous sommes de retour". La question "Qui était de retour ?" ne se posait pas, il y avait qu'eux qui pouvaient faire sa. Les rebelles.