Peter Shiloh
Messages : 4 Date d'inscription : 29/04/2011 Age : 29 Localisation : Sud de la France, Hérault
| Sujet: Une Poursuite dans les Ruelles de la Ville : Ven 29 Avr - 22:53 | |
| Une Poursuite dans les Ruelles de la Ville : Attention Danger. Mais peut être pas pour celui que l'on croit... On peut dire ce que l'on veut quand on s'ennui, on fais les pires follies. Exemple parfait : moi. Il est 20h30 et je me promène dans l'endroit le plus mal-famé de la ville : Les Ruelles Sombres. L'endroit où le nombre d'entré était plus faible que le nombre de sortit. Mort bien sûr. Je souris. Mon sourire était froid, calculateur et cruel. L'abscence de mon Ashran était ce soir là plus vive que jamais...et celui qui croisera ma route le regretera, dans sa tombe du moin. Ou bien sur son lit d'hopital. Je soupirais, ça faisait un moment que je herrais dans cet endroit et je n'avais croisé personne...Je repensais à Ashran et à Rasalba, en ce moment ils seraient en train de me dire :
-Tu es stupide Peter, on serais mieux au chaud dans la maison en train de se faire griller des chamalow... Elle aurait soupirait et rajouté, Au lieu de ça on est perdus dans des ruelles macabres à une heure incogrue.
Et Ashran aurais rencherie :
-Ah...Toi et ta soif de combats... Moi à l'heure qu'il est je serais bien au chaud dans mon nids avec une ou deux aiglettes en prime...
Et en un parfait accord nous aurions ris. Ashran de son rire d'oiseau, rocailleux, Rosalba de son rire qui sonnait a vos oreilles comme un carillon sensuel et moi, d'un rire rauque, grave et puissant.
Mais le passé est le passé et malgrès mon envi de retourner en arrière ça n'est pas possible. Ils sont mort et jamais ne reviendront. Mon amour et mon Démon son Morts. Et ma joie ainsi que la douceur qui habitait ma voie et mon coeur sont morts avec eux... Un bruit me retira de mes songes douloureux, une présence était derrière moi...discrète et pourtant menaçante. Je ne me retouna pas. Attendit qu'elle s'avançe et lorsqu'elle ne fut qu'a quelque pas de moi je fis un salto arrière. Cela me permis d'être derrière cet homme ou cette femme, dont les intentions étaient plus que suspectes. Celle-ci se figea quand je mis ma main transphormait devant elle. Devant son cou plus précisément. L'ombre se figea allertée. Elle avait senti mes griffes de la taille d'un poignard et non moins aussi aiguisées. J'attendit patiament qu'elle parle... | |
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